Les moteurs de recherche, les réseaux sociaux, les sites d’achat en ligne ou les caméras de surveillance numérique avec reconnaissance faciale en savent beaucoup sur les personnes qui les utilisent. Les administrations, les banques ou les autorités scolaires disposent également de nombreuses informations sur chaque individu. Serait-il judicieux de rassembler toutes ces informations pour déterminer qui est un·e « bon·ne citoyen·ne » et qui est un.e « mauvais·e citoyen·ne » ? Faut-il noter et éduquer les gens pour qu’ils deviennent de « bon·ne·s citoyen·ne·s » à l’aide du « big data » et de l’intelligence artificielle?
Dans cet atelier, les jeunes examinent d’un œil critique les questions suivantes :
